4. déc., 2011
La valse tourne, tourne,
Des mouettes nous sauvent du naufrage, ses cheveux s’éparpillent en lambeaux flamboyants , les vagues nous bercent,
Et enfin, la Ville apparaît au loin,
Avec d’improbables cathédrales aux grosses cloches de cuivre.
Nous entrons dans la Ville en entrant l’une dans l’autre,
Nos corps se rejoignent pour l’éternité,
Jamais plus nous nous séparerons.
Quand la Blue Room retrouve la texture de ses murs,
Nous ne savons plus qui est qui .
Nous sommes une.
Derniers commentaires
31.12 | 16:15
Merci à toi! Bonne année !
gmail
31.12 | 15:50
31 Décembre 2921 16h
Merci pour les textes et les oeuvres aussi diverses que variées.
Un plaisir renouvelé chaque année.
A l'année prochaine dans 8h !!
🦔
10.01 | 23:26
Des écritures émouvantes, des toiles qui invitent aux voyages, la tendresse du mot et du trait sans cesse renouvelé.
Il y a toujours a découvrir.
Merci.
21.03 | 11:49
Heureuse de découvrir votre site. Il me plaît.
Hilda Damman